Jane DoeL’histoire vraie d’une jeune fille qui se bat pour s’en sortir
Quinze chemins de croix des hommes suivis de Treize chants pour une humanité debout
Patrick van WessemIls marchent.
Parfois à genoux, parfois les yeux levés.
Quinze stations pour dire la chute, le poids, l’abandon —
non pas celui d’un seul, mais celui de...
L'oracle de guérison de Lisa
Lisa LeclercqC'est un livre pour faire découvrir mes Oracles de guérison de Lisa .
Mode de tirage et travail à l'intuition .
Humoresques
Pierre SomvilleBêtise(s)
Tout prendre au premier degré, sans recul ni altitude. Ramener tout à soi dans le rejet d’autrui. Ne rien voir, ne rien entendre : être convaincu...
Chantre de la scolastique contemplative déconstructive, Sten Tnilnav commence dès son plus jeune âge à ne rien faire. Et même moins, si possible.
Par son abus de la dialectique et son formalisme post-Heidbergien, Sten Tnilnav s'impose à tous ceux qui le lisent comme une alternative décomplexée à la pensée néo-réfractaire du courant proto-moderne des fumistes décadents.
Scénariste non produit, dramaturge non joué, auteur non édité, Sten Tnilnav n'en défend pas moins son dernier roman " [Votre Titre Ici ; 50€/mois] ".
"J'ai décidé d'avancer de l'avant et de tout de suite passer à la partie vente", nous révèle Sten Tnilnav lors d'un passionnant entretien téléphonique entre ses siestes de 10h30 et de 10h45. (Le texte de cet entretien téléphonique est d'ailleurs aussi disponible à l'achat pour la modique somme de 25,99€/page ; contactez-nous.)
À toujours dire tout bas ce que les gens pensent tout haut, Sten Tnilnav est en train de se tailler une place de choix au panthéon des auteurs talentueux de sa génération.
Et, tandis qu'il surveille d'un œil posé, couché légèrement à l'écart de l'atelier, la fonte de sa statue en platine, statue que l'on érigera en plusieurs exemplaires un peu partout dans le monde, Sten n'oublie pas de cultiver sa modestie légendaire et laisse aux Zautres le privilège de régler les problèmes de l'humanité.
Apôtre d'un humanisme animiste tourné vers l'humain, Sten Tnilnav n'en écrit pas moins pour des raison purement cupide et mercantile.
En attendant, Sten Tnilnav s'en va dormir sous l'orme.