Voilà six mois que Julian Wickart, un neurobiologiste de renom, a été retrouvé mort sur son lieu de travail, des électrodes sur la tête, un commutateur poussé au maximum à ses pieds. La police a conclu au suicide, mais Alyssia, sa veuve, ne peut accepter cette thèse, car à l’exception de ses cauchemars violents, rien ne semble justifier un tel acte. Autre fait troublant : Julian n'a laissé aucune lettre pour expliquer son geste.
Après avoir déménagé avec ses deux filles, Alyssia se plonge dans les notes de Julian pour tenter de comprendre ce qui lui est arrivé. Elle découvre qu’il assistait soir après soir à l’exécution des jeunes femmes portées disparues dans la région, et qu’il voyait la scène au travers des yeux du tueur. Elle découvre aussi qu’il était assailli par les doutes et qu’il avait l’impression que ses cauchemars n’en étaient pas.
Elle aussi est assaillie par les doutes car les meurtres ont cessé depuis la mort de son mari. Plus elle se plonge dans les notes de Julian, plus elle découvre de nouveaux éléments étranges, et moins elle croit à la thèse du suicide.
Elle se tourne alors vers Thomas, le meilleur ami et collègue de Julian, pour l’aider à déchiffrer les notes de son mari. Elle remarque que trois mots reviennent régulièrement : puce, virus et meurtres.
Intriguée, elle va se jeter à corps perdu dans une enquête pour faire toute la lumière sur le mystère qui entoure la mort de son mari.
| Auteur : |
Nadine Legrand |
| Catégorie : |
Romans & Essais - Thriller |
| Format : |
A5 (14,8 x 21 cm) |
| Nombre de pages : |
302 |
| Couverture : |
Souple |
| Reliure : |
Dos carré collé |
| Finition : |
Brillant |
| ISBN : |
978-2-8083-2872-2 9782808328722 |
